Yslaire
Fleur de pavé
Estimate: 7.000 - 9.000 EUR
Price realised: not sold
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Description
YSLAIRE (Bernard Hislaire dit)
Né en 1957
SAMBRE
Tome VII
Fleur de pavé
Esquisse imprimée sur carton contrecollé Daler-Rowney dove grey entièrement retravaillée à la main. Encrage à la plume, encres de Chine noire, sépia et rouge, rehauts de gouache blanche pour la planche 70 de cet album publié en 2016 aux éditions Glénat.
Encadré.
53 × 38 cm
L'ultime planche de l'album, avec l'envol de la coccinelle et la vue en contre-plongée finale qui occupe à elle seule deux-tiers de la page. Bernard-Marie regarde l'insecte s'envoler tout en s'interrogeant. Le format carré de la case, le travail sur les lignes de fuite, les déformations du grand angle qui affectent la bâtisse et les pins mais pas le grand feuillu occupant le coin supérieur gauche de l'image : tout cela crée un contre-point puissant aux deux premières cases, toutes les deux panoramiques. Et comme il le pratique souvent dans ses illustrations ou ses affiches, Yslaire joue sur la diagonale allant des pins vers le feuillage de l'arbre pour créer, au-dessus, une zone plus vide. Cette diagonale se poursuit d'ailleurs tout au long de la page, remontant l'arrête du nez de Bernard-Marie pour se terminer en épousant le tronc de l'arbre de la première case. De la même manière, l'adolescent qui regarde la coccinelle s'envoler dans la dernière case la regarde aussi voler dans la première, si l'on prolonge son regard sud-delà des limites de la case elle même.
Né en 1957
SAMBRE
Tome VII
Fleur de pavé
Esquisse imprimée sur carton contrecollé Daler-Rowney dove grey entièrement retravaillée à la main. Encrage à la plume, encres de Chine noire, sépia et rouge, rehauts de gouache blanche pour la planche 70 de cet album publié en 2016 aux éditions Glénat.
Encadré.
53 × 38 cm
L'ultime planche de l'album, avec l'envol de la coccinelle et la vue en contre-plongée finale qui occupe à elle seule deux-tiers de la page. Bernard-Marie regarde l'insecte s'envoler tout en s'interrogeant. Le format carré de la case, le travail sur les lignes de fuite, les déformations du grand angle qui affectent la bâtisse et les pins mais pas le grand feuillu occupant le coin supérieur gauche de l'image : tout cela crée un contre-point puissant aux deux premières cases, toutes les deux panoramiques. Et comme il le pratique souvent dans ses illustrations ou ses affiches, Yslaire joue sur la diagonale allant des pins vers le feuillage de l'arbre pour créer, au-dessus, une zone plus vide. Cette diagonale se poursuit d'ailleurs tout au long de la page, remontant l'arrête du nez de Bernard-Marie pour se terminer en épousant le tronc de l'arbre de la première case. De la même manière, l'adolescent qui regarde la coccinelle s'envoler dans la dernière case la regarde aussi voler dans la première, si l'on prolonge son regard sud-delà des limites de la case elle même.