Anne-Louis Girodet De Roucy-Trioson
L'Ombre D'Hector Apparaît À Énée Ou Le Songe D'Énée
Found at
Christies,
New York
Maîtres Anciens : Peintures - Sculptures - Dessins, Lot 35
15. NOV - 15. NOV 2023
Maîtres Anciens : Peintures - Sculptures - Dessins, Lot 35
15. NOV - 15. NOV 2023
Estimate: 50.000 - 70.000 EUR
Price realised: not available
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Description
ANNE-LOUIS GIRODET DE ROUCY-TRIOSON, THE GHOST OF HECTOR APPEARS TO AENEAS OR THE DREAM OF AENEAS, OIL ON PANEL
See, in dream, before my eyes, Hector seemed to stand there,
saddest of all and pouring out great tears,
torn by the chariot, as once he was, black with bloody dust,
and his swollen feet pierced by the thongs. […]
“Ah! Son of the goddess, fly, tear yourself from the flames.
The enemy has taken the walls: Troy falls from her high place.[…]
Troy entrusts her sacred relics and household gods to you:
take them as friends of your fate…’
Aeneid, Book II, 270-273, 289-290, 293-294 - Atelier de l'artiste (comme 'huit compositions historiques sur bois et sur toile dont plusieurs sont tirées de l'Énéide' (État descriptif des objets d’art et autres effets mobiliers dépendant de la succession de M. Anne-Louis Girodet, n°370 (selon J.-M. Voignier, 2005, op. cit., p. 38)) ; sa vente après-décès, dans la maison de l'artiste, rue Neuve-Saint-Augustin n°55, 11 avril 1825 et jours suivants, lot 22 (comme 'Énée, pendant son sommeil, est averti par Hector d'assurer son salut par la fuite, et de soustraire aux flammes les dieux de sa patrie. Il lui apparaît tel qu'il était lorsqu'Achille le traînait à son char. Dans le fond on aperçoit la ville de Troye en feu. Esquisse peinte très terminée inspirée par le 2e livre de l'Énéide. B. l. 12. h 9 1⁄2 p.') ; d'où acquis par Antoine-Claude Pannetier (1772-1859) (pour 950 francs) (n°42 du procès-verbal de la vente (selon idem, p. 96)) ; sa vente, hôtel des commissaires-priseurs, rue Drouot, Paris, (Me Pouchet), 28 avril 1857, lot 32 (comme 'Enée averti de la prise de Troie par l'apparition d'Hector (Esquisse)'). | Selon une tradition familiale, ancienne collection Prat, Paris, au début du
See, in dream, before my eyes, Hector seemed to stand there,
saddest of all and pouring out great tears,
torn by the chariot, as once he was, black with bloody dust,
and his swollen feet pierced by the thongs. […]
“Ah! Son of the goddess, fly, tear yourself from the flames.
The enemy has taken the walls: Troy falls from her high place.[…]
Troy entrusts her sacred relics and household gods to you:
take them as friends of your fate…’
Aeneid, Book II, 270-273, 289-290, 293-294 - Atelier de l'artiste (comme 'huit compositions historiques sur bois et sur toile dont plusieurs sont tirées de l'Énéide' (État descriptif des objets d’art et autres effets mobiliers dépendant de la succession de M. Anne-Louis Girodet, n°370 (selon J.-M. Voignier, 2005, op. cit., p. 38)) ; sa vente après-décès, dans la maison de l'artiste, rue Neuve-Saint-Augustin n°55, 11 avril 1825 et jours suivants, lot 22 (comme 'Énée, pendant son sommeil, est averti par Hector d'assurer son salut par la fuite, et de soustraire aux flammes les dieux de sa patrie. Il lui apparaît tel qu'il était lorsqu'Achille le traînait à son char. Dans le fond on aperçoit la ville de Troye en feu. Esquisse peinte très terminée inspirée par le 2e livre de l'Énéide. B. l. 12. h 9 1⁄2 p.') ; d'où acquis par Antoine-Claude Pannetier (1772-1859) (pour 950 francs) (n°42 du procès-verbal de la vente (selon idem, p. 96)) ; sa vente, hôtel des commissaires-priseurs, rue Drouot, Paris, (Me Pouchet), 28 avril 1857, lot 32 (comme 'Enée averti de la prise de Troie par l'apparition d'Hector (Esquisse)'). | Selon une tradition familiale, ancienne collection Prat, Paris, au début du